lundi 15 décembre 2014

Mots en chantiers

Inspirée par le compagnonnage, la classe de 2nde 1 de la Cité Scolaire Internationale de Lyon a tenté de réaliser son chef d'œuvre à elle, vingt fois sur le métier, remettant son ouvrage, ou plutôt son chantier de mots, français et multilingues, se frayant ainsi un chemin entre arts poétiques et métiers d'art.
Textes des élèves entre réel et imaginaire et textes d'auteurs s'entrecroisent.
Les voix sonnent, les langues s'entrechoquent... on se renvoie la balle, on empile des cartons, on construit des histoires de travail, de métier, de passion, de transmission...
Les élèves ont été guidés par Claudia Mollier-Sabet, leur professeur de lettres et de français langue étrangère, et Hélène Grange, comédienne, chanteuse et metteure en scène, assistée de Léa Good, étudiante en master de FLE, qui a aussi suivi une formation en arts du spectacle.
Avec le soutien de la Région Rhône-Alpes, dans le cadre du dispositif Eureka, du Rectorat de Lyon (classe à Projet Artistique et Culturel) et du Proviseur de la Cité Scolaire Internationale de Lyon Gerland. Merci également à l'équipe des Musées Gadagne qui met à notre disposition le Petit Théâtre de Gadagne, et un merci tout particulier à Marie Canonne, chef de projet médiation jeunes publics.
 

samedi 13 décembre 2014

Projet



Je parlerai d’une voix plus claire
Les poissons deviendront poissons
Les algues seront des algues
Et les monstres marins resteront des monstres marins
Je ne salerai plus les mots
Je ne transformerai plus les poissons en alouettes
Les algues en rosiers et les monstres marins en machine
A écrire
Seules se perpétueront les sirènes
Dessalées par la distance du temps
Raymond Queneau
 





 

vendredi 12 décembre 2014

Définitions


NOEMIE : Définition ! TRAVAIL Du latin trepalium = instrument de torture
Effort, application pour faire une chose
PATRICK : TRAVAIL : Application des forces qui produit la fatigue,
peine qu’on se donne pour faire quelque chose
YAE : TRAVAIL : Activité contraignante qui occupe
JULIE : LABEUR : Du latin labora, laborae = souffrance
Travail pénible demandant un effort soutenu et de longue haleine, une grande ténacité
PIETRO : METIER : Du latin ministerium = service. Genre d’occupation manuelle ou mécanique qui trouve son utilité dans la société
ANAIS : METIER : Activité régulière dont on vit








jeudi 11 décembre 2014

Ce que j'aimerais faire plus tard



Lorena : Ahlala Ahlala Ahlala, les filles, je ne sais pas si chez vous c’est pareil, mais mes parents n’arrêtent pas de me demander ce que je veux faire plus tard, tout ça …
Cintia : Oui moi pareil !
Luisa : Et moi aussi !
Gea : Le problème, c’est qu’ils veulent qu’on se décide maintenant, mais est-ce que je sais moi ??
Bella : Chez moi en Nouvelle-Zélande, c’est facile, tout le monde est acteur pour le film The Hobbit. Donc je vais être actrice !
Gea : Tout le monde acteur pour The Hobbit ?!!! Ah non, moi, pas comédienne, c’est sûr !
Cintia : Moi non plus !
Luisa : (à Cintia) Toi, il n’y a que l’Égypte qui t’intéresse !
Lorena : Tu pourrais être archéologue !
Cintia : Oh non ! C’est trop difficile de trouver du travail dans cette branche ! Et toi Gea, tu voudrais faire quoi ?
Gea : Je ne sais pas, peut-être un métier avec les animaux ??.... Vétérinaire ?
Bella : Ouh, c’est difficile ça !
Cintia : Avec quels animaux ?
Gea : Les animaux sauvages ! Les tigres, les éléphants …
Lorena, Luisa : Ouhah ! tu n’as pas peur !?!
Gea : Non, non, ça me plaît !
Lorena : Moi, ce qui m’intrigue en fait, c’est de voir d’où viennent vos envies, comment elles naissent, comment elles deviennent réalité ..... Ce qui m’intéresserait c’est d’être psychologue pour adolescents !
Luisa : Moi c’est depuis que j’ai vu l’émission de télé D&CO et EXTREM …. sur une chaîne américaine, que je m’intéresse à l’architecture. Ca me plairait beaucoup d’apprendre ce métier-là. Mon père qui est maçon m’a souvent emmenée sur ses chantiers. Et j’aime visiter des pays différents pour voir toutes les sortes d’architectures !
Lorena Dis-moi dans quel endroit tu habites et je te dirai qui tu es !!!
Cintia : Moi ce sont vos yeux qui m’intéressent : ils disent beaucoup de choses sur vous, on peut tout lire dans l’iris. La vue, pour moi, c’est le sens le plus important. J’aimerais être ophtalmologue !!

mercredi 10 décembre 2014

Charte pour un métier épanouissant !



Pietro : Article 1 : PASSION et CHOIX
Yaé : Un travail épanouissant est un métier que l’on exerce avec passion, qui nous donne envie de nous lever chaque matin.
Mélanie : Quand on travaille sur un sujet qui nous passionne, On est emporté …les contraintes inhérentes à sa pratique sont atténuées. Le temps consacré au travail passe plus vite.
Pietro: Ce qui suppose de choisir le travail que l’on fait, en fonction de ses goûts, de ses centres d’intérêts, de ses capacités.
Patrick : Article 2 : FORMATION
Gabrielle : Un travail est épanouissant s’il est précédé et accompagné d’une bonne formation, qui permette au travailleur de se sentir apte, compétent, qui lui apprenne à faire le geste juste.
Patrick : Les Compagnons le montrent bien à travers leur tour de France et leurs « Maison des Compagnons »…
Margot : … Ainsi le travailleur peut atteindre une maturité et un contrôle de soi essentiel pour trouver cet épanouissement.
La transmission de ses savoirs est aussi une source d’épanouissement.
Patrick : Chez les Compagnons, chacun sera amené à son tour à transmettre. Cela fait partie de leur organisation, et de leur épanouissement.
Catalina : Article 3 : EVOLUTION - DEVELOPPEMENT
Flora : Un travail est motivant s’il permet au travailleur d’évoluer sans cesse. En se fixant des objectifs plus élevés, il apprend, pour les atteindre, de nouveaux savoir-faire.
Catalina : Lors de son tour de France, le compagnon améliore ses techniques, apprend à travailler sur de nouveaux matériaux et bénéficie de maîtres plus expérimentés. Cela lui permet ensuite de réaliser un chef d’œuvre qui prouvera que le jeune compagnon connaît son métier.
Anaïs : Un travail épanouissant ne doit pas nous enfermer dans le quotidien. Il doit y avoir des changements, que ce soit d’horaires ou de formes de travail. Sinon, on se perd dans la routine, et le travail ne nous permet pas de nous développer.
Nina : Le travail à la chaîne transforme les hommes en machine.
Flora : Un travail épanouissant doit nous permettre de nous améliorer physiquement ou intellectuellement.
Julie : Article 4 : BUT - MOTIVATION
Noémie : Un travail épanouissant doit avoir un but précis, être sous-tendu par une motivation.
Julie : Lorsqu’on aime ce que l’on fait, on s’engage bien plus et de manière « naturelle » dans ce travail.
Mélanie : Le travail est enrichissant lorsque l’on suit chaque étape de sa création jusqu’à son résultat final.
Noémie : Car ce qui nous satisfait, c’est de voir se transformer une idée en quelque chose de concret…
Julie :d’assister à la réalisation de son travail, d’en voir l’aboutissement.
Mélanie :... de participer à une découverte…
Nina : D’où l’action déshumanisante du travail à la chaîne.
Margot : Article 5 : RECONNAISSANCE et VALORISATION
Yaé : Pour être épanoui professionnellement, l’individu doit être reconnu par autrui, valorisé par la société.
Gabrielle : L’appartenance au Compagnonnage est source de fierté et d’épanouissement car c’est un gage de reconnaissance et de compétences acquises.
Pietro : Le fait qu’on remercie quelqu’un pour son travail peut lui procurer de la joie et un sentiment d’utilité pour les autres.
L’épanouissement de soi n’a lieu que si le travailleur peut être fier de son travail.
Flora : Article 6 : GOUT DE L’EFFORT et DU TRAVAIL BIEN FAIT
Patrick : Pour en être fier, le travail devra être recherché et soigné.
Catalina : Un effort physique ou mental effectué pendant le travail permet de ressentir le fait de s’être impliqué, d’avoir fait de son mieux.
Anaïs : Chez les Compagnons, l’épreuve du chef d’œuvre et la réception en tant que compagnon donne à voir cette valorisation.
Anaïs : Article 7 : LE TEMPS
Margot : Pour rendre un travail plus épanouissant, il faut savoir prendre le temps, être patient.
Noémie : L’œuvre sera effectuée avec le temps nécessaire. Il ne faudrait pas avoir de limite de temps. Quand une œuvre a été longue à réaliser et qu’elle est terminée, la satisfaction est encore plus immense.
Mélanie : Ce qui rend heureux, c’est de maîtriser le temps...
Nina : Un travail épanouissant doit pouvoir laisser du temps libre. Il est indispensable d’avoir une vie en dehors du travail, du temps pour soi-même, une vie sociale variée.
Yaé : Article 8 : CADRE et SECURITE
Yaé : Le travail est moins contraignant s’il est réalisé dans un cadre agréable et dans une bonne ambiance.
Catalina :Il faut se sentir en sécurité : la confiance et la certitude que l’on travaille dans un endroit sans danger sont fondamentales pour travailler sereinement.
Noémie : Article 9 : REMUNERATION
Julie :Un travail épanouissant, c’est un travail rémunéré à sa juste valeur…
Anaïs : Le principe d’un salaire juste, équivalent au travail réalisé, doit être respecté pour rendre le travail épanouissant.

Mélanie : Article 10 : UTILITE et SOLIDARITE
Patrick : Pour être enrichissant, un travail doit être utile à la société. On cherchera à servir une cause supérieure à soi.
Flora : Le travail humanitaire, par exemple, est fondé sur la notion de partage et de savoir-vivre ensemble. Quand on consacre du temps à aider les autres, on se sent responsable, solidaire et bienveillant.
Nina :Article 11 : COLLECTIVITE
Gabrielle Il faut que le travail s’insère dans une collectivité
Pietro : Un travail fait collectivement permet de mélanger les idées de tout le monde pour faire quelque chose de mieux
Margot : Les Compagnons sont un bon exemple : la collectivité est primordiale, les compagnons sont soudés, s’aident, communiquent, partagent leurs savoir-faire.
Gabrielle : La collectivité, c’est leur force, ils le disent eux-mêmes !

mardi 9 décembre 2014

Métiers de mon pays - Métiers imaginaires


Flora et Patrick : Alors, vous, quelles sont vos envies, vos idées ??
Carlos : Moi je veux être Torero, parce que c’est le métier qui représente le mieux mon pays, l’Espagne !
Diogo : Moi c’est chanteur de Fado, le plus beau métier du Portugal, une immense tradition !
Aïca : Moi je veux être concierge du ciel !! Parce que tout le monde aime que le ciel soit bleu !
Ouhaouh !
Diogo : Que fait une concierge du ciel ?
Aïca : Beaucoup de ménage ! Je nettoie le soleil et la lune et je les aide à se lever et à se coucher !
Andreia : Moi je veux être gardienne de sourire, parce que j’aime voir les gens heureux !
Gavro : Moi je vais être marchand de châteaux de sable, c’est le métier le plus agréable qui existe chez moi, au Montenegro.
Patrick : ça n’existe pas marchand de châteaux de sable ?!
Gavro : Si bien sûr ! Les enfants adorent ça, les châteaux, sur les plages, et avec mon équipe on en fabrique et on les vend ! On travaille toujours dehors, au bord de la mer, c’est trop cool !
Mélanie : Mais un château de sable, ça disparaît sous les vagues !!
Gavro : Et oui ! C’est un achat éphémère !! (A Carlos) Mais Torero, c’est dangereux, non ?
Carlos : Oui, c’est pour ça que c’est un métier pour les personnes qui sont très courageuses ! C’est un sport, mais avant tout, c’est un art !! (A Aïca) Mais concierge du ciel, c’est dangereux aussi ... Tu dois voler ??
Aïca : Oui ! J’ai appris à voler, et j’adore ça ! J’astique les nuages, je cire les étoiles....
Ouhaouh !
Aïca : Et toi Diogo, chanteur de fado, c’est triste, non ?
Diogo : Non, ce n’est pas triste, c’est la « nostalgie », la « saudade » : c’est un mot qu’on ne peut pas traduire ! (A Andreia) Mais toi Andreia, tu ne peux pas toujours garder le sourire : s’il y a des gens qui sont morts ???....
Andreia : J’essaie de rendre les gens heureux, surtout quand ils ont du chagrin ! Le sourire, c’est, de toutes les émotions, celle qui se transmet le mieux !
Ah oui, ça c’est vrai !!


Carlotta, Pietro, Siham, Stefania,Yasmine : A nous, à nous, à nous !!!
A nous, à nous, à nous !!!
Carlotta : Moi je suis guide touristique à Rome ! C’est typique de l’Italie car en Italie il y a beaucoup de monuments et des villes qui sont des musées à ciel ouvert.
Pietro : Moi je veux être pizzaiolo, c’est ça le métier qui représente le mieux l’Italie, car tout le monde connaît la pizza, c’est plus universel que les monuments historiques.
Carlotta : Guide touristique, c’est mieux que tout le reste, parce que tu attires les touristes. C’est une source de richesses pour le pays, et c’est le meilleur moyen pour amener les gens à se cultiver. C’est pour les monuments que les gens viennent en Italie. C’est seulement après qu’ils mangent la pizza !
Pietro : Oui mais le monde entier connaît les pizzas, Les Italiens ont emporté partout avec eux les pizzas, comme les Portugais le fado. Et les mots pizzas et pizzeria sont les mêmes partout dans le monde. Personne ne les a traduits !
Nina : Dire que des Américains pensent que les pizzas ont été inventées par eux...
Pietro  : Ah oui ma les Américani !!! .... Et toi ?
Siham : Moi je suis tricoteuse d'arc-en-ciel
Stefania : Moi je suis guide pour la lumière du soleil
Yasmine: Moi, dégustatrice de poison
Catalina : Ouhlala ! Ça existe, tout ça ?!!
Siham : Le tricoteur d'arc-en-ciel crée des effets de ciel qui sont nécessaires pour développer l’imagination des enfants.
Stefania : La lumière du soleil est comme une personne au caractère difficile, elle a besoin d’un tuteur.
Yasmine : Dégustateur de poison est un métier où l’on risque sa vie pour sauver d’autres vies humaines. On doit avoir les compétences suivantes :
- Une langue avec des propriétés particulières
- Une haute résistance à la chaleur et à l’écorchement
- Un seuil de la douleur très élevé
- Un système nerveux anti-panique
Il faut détester la vie et ne pas avoir peur de la mort. Parce que si tu n’es pas excellent, si tu ne reconnais pas le poison à temps, tu risques de n’exercer ton métier qu’une fois !
Siham : c’est un métier un peu violent ...
Yasmine : oui mais c’est plus utile que tricoteur d'arc-en-ciel : il y a beaucoup de poisons dans le monde, on peut sauver beaucoup de gens, alors qu’il y a peu d’arcs-en-ciel.
Siham : C’est pour cela qu’on doit absolument en tricoter pour qu’il y en ait plus ! Pour être tricoteuse d’arc en ciel, il faut aimer se déplacer Ça se passe partout sur la planète...
Gabrielle : Comment fait-on pour tricoter un arc en ciel ?
Siham : Tu prends les couleurs de l’arc-en-ciel, et tu les tresses en mettant des fils de lumière de soleil et des gouttes de pluie. Je trouve ça magnifique, et j’ai créé ce métier. Je suis autodidacte. Il n’y a pas encore d’école....
Anaïs : Et guide de la lumière du soleil, à quoi ça sert ?
Stefania : Le soleil a besoin d’être guidé pour savoir où il doit briller, envoyer de la chaleur. Je me sers de la météo... J’exerce ce métier de manière imprévisible : il faut être capable de réagir en toutes circonstances et d’être positif et calme. Et voir la lumière danser, c’est fascinant. Il y a là une vraie richesse sentimentale.
Julie : Ah je comprends !!! Aux suivants !
 


Pedro : Moi je suis testeur de lit : Je teste les lits avant qu’ils soient mis sur le marché !
Hein ?!!
George: Moi je suis épouvanteur d'enfants ! J’épouvante les enfants sur demande des parents.
Ouhaouh !
Lucia : Moi je voudrais être thérapeute d'escargots hyperactifs ... Je suis très proche de ces animaux à la fois lents et speed ! Je les comprends bien !
Dingue ... !
Luke : Moi je suis bûcheron, je coupe les arbres et vends le bois. Au Canada, c’est le métier le plus répandu !
Yaé : Ça c’est vrai ... ! Mais quel est le plus épanouissant ??
George : Epouvanteur c’est très drôle à faire ! Je travaille la nuit : Quand on m’appelle, je viens par surprise, comme ça, même les parents sont un peu épouvantés,
Luke - Bûcheron c’est mieux. Tu travailles dans la nature, avec les animaux, les arbres. J’aime beaucoup ce métier !
George : Mais j’aime épouvanter les gens, j’aime voir leur tête d’épouvanté. Quand j’étais petit, je m’épouvantais beaucoup. Ça me rappelle mon enfance.
Pedro : Moi, je voulais concilier l’idée de dormir beaucoup et de gagner de l’argent. J’aime bien dormir, donc là, je travaille en dormant. C’est le meilleur métier, non ?
Lucia : Vos métiers ne sont pas très épanouissants, si ? Le mien, franchement, c’est mieux : je suis thérapeute, je travaille dans la nature, je sauve des escargots qui courent partout sur les autoroutes, en pleine dépression ... bref, je suis utile à la société !
Pedro : Moi, ça ne demande ni force physique ni intelligence. Il suffit d’être fatigué et patient. Il faut bien connaître tous les matériaux des lits et se coucher dans toutes les parties du lit et dans tous les sens. C’est simple. Ça n’empiète pas sur mon temps libre, au contraire, puisque je dors au travail !
Lucia : Moi, je passe mon temps libre à être volontaire dans des associations qui aident les escargots en détresse. Vous comprenez, les escargots sont fragiles, et si on ne les protège pas, ils risquent d’être en voie d’extinction.
Noémie: Oui bien sûr, heureusement que tu es là  !!!! (à Luke) Et bûcheron alors ??
Luke : Les bûcherons sont courageux, joyeux, ils coupent les arbres en chantant, ils sont très costauds, grands et rudes comme le climat du Canada mais aussi sympathiques et gentils.
George : Quand on est épouvanteur, on travaille beaucoup avec les enfants, c’est amusant, et on peut voyager dans le monde entier. Alors que toi, tu travailles toujours au même endroit.
Luke - Le bûcheron apprend beaucoup de choses sur la nature, et les bûcherons peuvent aussi voyager dans tous les pays où il y a des forêts !



lundi 8 décembre 2014

Définitions

Catalina : PROFESSION : Du latin professio = déclaration
Tout genre de travail reconnu ou toléré par la société et dont on peut tirer ses moyens d’existence.
Nina : COMPAGNON : Du latin cum = avec ; panis = pain
Celui qui partage les occupations, les aventures, le sort d'une autre personne.
Margot : (à Nina) ah oui mais non ! Pas là !... Là : COMPAGNON : Ouvrier, artisan, qui fait partie d'une société de gens de métier.
Mélanie : COMPAGNONNAGE : Association entre ouvriers d’une même profession à des fins d’instruction professionnelle et d’assistance mutuelle.
Moi je veux être compagnon poète !!